L ' illusion de la maîtrise technologique nous éloigne aussi des réalités de la nature et de ses aléas météos… A force d' être inondé d' infos, parfois contradictoires, on en vient à refuser la loose toujours possible et à rejeter la faute sur les prévisionnistes si besoin...
Façon commode de s' exonérer de sa propre responsabilité dans l' analyse des prévis disponibles, on minimise presque la formidable mise à disposition de ces infos...
Au début du snowkite, on se contentait pourtant du téléphone (répondeur montagne, vent météo station,...), on s' adaptait à court terme ( Tatoo) et on acceptait la fatalité de qq sessions ratées dans la saison...
Actuellement, on peut prévoir sans trop d' erreur à une semaine près avec une précision ajustable dans les dernières heures.
On dispose d' outils précis mais pas infaillibles et Bernard rappelle bien l' importance de l' observation et de l' expérience personnelle :
@30t4qnex:
Une seule recette :
ne pas écouter les prévisionistes de TF1
regarder les cartes météo, prédire localement, observer sur place, noter, comparer (zut raté !) et rebelote …
+1 !
@30t4qnex:
Mais je trouve aussi qu'elles ne sont pas si mauvaises que ça … si on prend bien les prévisions météo pour ce qu'elles sont et en sachant un peu ce que leurs modèles calculent et comment.
(re) +1 !
En recoupant le Guru, MétéoFrance, Windfinder, P@r@2000, Météoblue, Caplain, …, en vérifiant les balises, en passant qq coups de fil et fort de sa propre expérience, on peut ajuster sa sortie jusqu' à la dernière minute sans trop de risques... Le premier à accepter, c' est l' aléa météo inhérent à notre activité.
[image: icon_cool.gif] Bah sinon reste toujours le bon vieux grigri en poils de dahu
... pour éloigner la loose !! (ou de yéti… mais plus rare)